sábado, 25 de maio de 2013

Na Europa, Há quem Aposte no Aumento de Professores e em Sistemas Renovados de Formação. Vamos ver quem tem razão...


Le Sénat adopte le projet de loi de refondation de l'école

LE MONDE |  • Mis à jour le 
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Le ministre de l'éducation, Vincent Peillon, le 11 mars, à l'Assemblée.
Samedi 25 mai au matin, le ministre de l'éducation nationale, Vincent Peillon, peutpousser un "ouf" de soulagement. Son projet de loi d'orientation et de programmation pour la " refondation " de l'école a été adopté en première lecture par le Sénat dans la nuit de vendredi à samedi - par 176 voix contre 171.
Contrairement à l'Assemblée nationale, où les socialistes sont majoritaires, l'adoption du projet de loi au Sénat n'était pas gagnée d'avance. Le gouvernement avait en effet besoin des voix des autres groupes de gauche pour faire passer son texte. Or, les sénateurs communistes avaient jugé, au début des discussions, le 21 mai, le projet "pâle", pas à la hauteur des attentes.
Vincent Peillon a donc dû faire un certain nombre de compromis pour faire adopterson projet de loi qui prévoit, entre autres, la création de 60 000 postes sur le quinquennat, l'ouverture d'écoles supérieures du professorat et de l'éducation (ESPE), la relance de la scolarisation des enfants de moins de 3 ans dans les zones difficiles, la refonte des programmes et des cycles par un nouveau "Conseil supérieur des programmes", la fin de l'apprentissage junior...
Le gouvernement a notamment reculé sur le rôle des régions en matière de formation professionnelle. Il avait déposé un amendement prévoyant que "la région arrête la carte régionale des formations professionnelles initiales", c'est-à-dire qu'elle décide des ouvertures et fermetures de formations (dans les lycées professionnels notamment), à partir d'une "convention signée" avec le rectorat. Un "casus belli" pour la sénatrice communiste Brigitte Gonthier-Maurin, opposée à la"régionalisation de la formation professionnelle". Le gouvernement a retiré son amendement, ainsi que deux autres sur le service public de l'orientation, critiqués par le groupe communiste pour les mêmes raisons.
L'amendement des sénateurs communistes visant à supprimer le service minimum d'accueil dans les écoles primaires a été rejeté. En revanche, ils ont obtenu que la définition du "socle commun de connaissances, de compétences et de culture" soit revue. Ce bagage commun – instauré par la loi "Fillon" de 2005 sur l'école –, que tous les élèves doivent acquérir au cours de leur scolarité, est perçu comme un "smic culturel" par les communistes, qui l'accusent de niveler par le bas les exigences de l'école. Ces derniers ont obtenu, en commission, que ce socle permette la " poursuite d'études "" Pour nous, c'est reconnaître qu'il y a un besoin global d'élévation du niveau des connaissances ", se félicite Mme Gonthier-Maurin.
Sans surprise, la droite a voté contre le projet de loi. Principale opposition : la création de 60 000 postes d'ici 2017. "Le niveau d'investissement n'est pas corrélé à la performance du système", estime Jean-Claude Carle, sénateur UMP de la Haute-Savoie. "Quels effets cela aura sur les autres budgets de l'Etat, en particulier sur les effectifs de la défense ?", s'interroge, de son côté, Jacques Legendre, sénateur UMP du Nord. Si les élus de droite partagent avec Vincent Peillon l'idée de la "priorité au primaire", ils regrettent que les efforts soient portés sur la scolarisation des enfants de moins de 3 ans. "L'utilité de la scolarisation précoce n'a jamais été démontrée", considère M. Legendre.
DIVERSES VISIONS DE L'ÉCOLEAutre mécontentement à droite : la suppression de l'apprentissage pour les élèves de 15 ans et la "sanctuarisation" du collège unique qui, selon les sénateurs UMP, n'a pas prouvé son efficacité. Pour le gouvernement au contraire, il fallait"réaffirmer le principe du collège unique" et "remettre en cause tout dispositif d'éviction précoce" qui "enfermerait trop tôt [les élèves] dans une filière", peut-onlire dans le rapport annexé au projet de loi.
Ce sont finalement diverses visions de l'école qui se sont affrontées cette semaine au Sénat. L'UMP a défendu le "sens de l'effort" dans les apprentissages, la notation des élèves. De l'autre côté de l'hémicycle, le groupe écologiste a plaidé en faveur de la suppression des mentions, des classements et de la notation, qui ne servent, selon lui, qu'à "stigmatiser les différences entre les élèves". La droite a insisté sur la transmission des savoirs fondamentaux –le français, lesmathématiques... Les écologistes ont parlé d'"échanges" entre les disciplines, de"coopération entre élèves", d'innovation pédagogique...
Adopté, le projet de loi d'orientation sur l'école reviendra en commission à l'Assemblée nationale dès le 29 mai – avec un état d'esprit quelque peu différent. Le Sénat a notamment réécrit l'article 3 pour assigner à l'école les missions delutter contre les inégalités sociales et de faire réussir "tous" les élèves. Il a assouplit l'accès aux langues régionales. Il a enfin accordé aux parents une place importante, en prévoyant que les établissements disposent d'un espace à leur usage, que les dispositifs de soutien scolaire soient mis en place "conjointement"avec eux ou encore qu'ils aient, à titre expérimental, le dernier mot dans le choix d'orientation de leur enfant.

quinta-feira, 16 de maio de 2013

segunda-feira, 6 de maio de 2013

Haja Quem Pense Assim...

"Não deixaremos que matem Portugal", diz Jean-Luc Mélenchon

Milhares de militantes de esquerda desfilam, em Paris, esta tarde, contra a austeridade imposta pelo Presidente François Hollande e "contra a infame troika". "Não deixaremos que matem Portugal nem nenhum outro país", diz ao Expresso o líder, Jean-Luc Mélenchon.
Daniel Ribeiro, correspondente em Paris
'Não deixaremos que matem Portugal', diz Jean-Luc Mélenchon Charles Platiau/Reuters
Jean-Luc Mélenchon, líder da Frente de Esquerda (FG), ex-candidato às presidenciais francesas e ex-ministro da Educação do Governo socialista de Lionel Jospin, está mais combativo do que nunca no início da manifestação, na Praça da Bastilha, em Paris.

Milhares de pessoas - 180 mil diz-nos Raquel Garrido, sua porta-voz - reclamam mudanças imediatas no Governo francês e na Europa. Na tribuna, Mélenchon apresenta-se com dois cravos vermelhos na lapela e define o desfile de esquerda como "a manifestação da fraternidade com os pobres povos europeus que as infames Troika e Comissão europeia querem matar".

Os dois cravos são uma referência ao 25 de abril português, um dos símbolos mais queridos de Jean-Luc Mélenchon. "A revolução portuguesa é uma referência para ele", explica-nos a sua porta-voz, Raquel Garrido, de origem chilena. 

"Inflação é melhor que a morte, a bancarrota ou a guerra"


No seu discurso, no início da manifestação "das vassouras" (muitos manifestantes apresentam-se com vassouras e cartazes pedindo "uma vassourada" no poder socialista francês), o chefe da FG evoca longamente a crise europeia. "Com Chipre assistimos a um golpe de Estado da finança na Europa, as dívidas nunca serão pagas, com um pouco de inflação apaga-se a dívida, a inflação é melhor que a morte, a bancarrota ou a guerra!", exclama Mélenchon.

"Pedem sacrifícios aos povos, põem-nos na miséria e as dívidas aumentam, o caminho não é esse, é uma evidência", acrescenta. "Nós somos a fraternidade, não deixaremos que matem Portugal nem nenhum país vítima da finança," diz Jean-Luc Mélenchon ao Expresso.

"Aviso as infames Comissão da UE e a Troika: tenham cuidado, porque a gente não vai permitir que se metam com a França, terão um levantamento de milhões de pessoas nas ruas!", exclama.    

Chefe do Governo fala esta noite


A manifestação reúne comunistas, ecologistas, trotskistas e socialistas descontentes com o socialista François Hollande, que comemora amanhã, segunda-feira, o primeiro aniversário da sua eleição para o Eliseu.

É a primeira vez na história da França que estes setores da esquerda, que apelaram ao voto em Hollande na segunda volta das eleições presidenciais de 2012, se manifestam contra um Governo que se define a si próprio como "de esquerda".

Inquieto com a forte mobilização da esquerda e com as muito más sondagens, o primeiro-ministro, Jean-Marc Ayrault, vai dar uma entrevista esta noite, em direto, num dos principais canais da televisão francesa.   

Ler mais: http://expresso.sapo.pt/nao-deixaremos-que-matem-portugal-diz-jean-luc-melenchon=f804865#ixzz2SWUo3GCo

sábado, 4 de maio de 2013

Promoção da Disciplina de Psicologia

Boas Notícias, Finalmente.


Cometa: Chuva de estrelas ilumina Portugal na segunda-feira
A passagem da Terra pela órbita do cometa Halley vai originar uma chuva de estrelas cadentes, que pode ser visível a olho nu na segunda-feira, inclusive em Portugal, informa o Observatório Astronómico de Lisboa (OAL).
Chuva de estrelas ilumina Portugal na segunda-feira

quinta-feira, 2 de maio de 2013

Solidez e Coesão do Governo Garantidas até ao Fim do Mandato

Está garantido. Enquanto houver um português empregado, o governo terá sempre à sua disposição uma medida estrutural para combater o défice: despedi-lo.
Não sendo provável que o desemprego atinja os 100% antes das eleições, é praticamente garantido que o governo sobreviverá sólido e coeso até lá.
A solução alternativa seria, sem dúvida, muito mais dolorosa do que esta política garantida, sólida e coesa do governo português. É que a alternativa seria a de todos os portugueses se despedirem para provocar a queda do governo. O governo demitir-se-ia por não saber mais o que fazer. Só que esta alternativa não o é verdadeiramente, por ser excessivamente dolorosa.

Documento de Estratégia Orçamental 2013-2017